Pendant ce temps-là, au centre

Pendant que les stagiaires découvrent le mode d'emploi d'un handi'chien, la vie continue au centre. De l'administratif à ne pas délaisser, une cérémonie de remise à organiser, mais aussi du bricolage, un bon nettoyage de printemps, et tout un lot d'imprévus, sinon on risquerait de s'ennuyer.

Extrait des réjouissances :

- un mur qu'il suffisait de presser pour agrémenter de champignons une bonne omelette. Tout cela n'est plus qu'une histoire ancienne :  les agents de Quintin Communauté ont sorti l'artillerie lourde et nous voilà avec une cloison saine (et de la poussière de plâtre partout, on n'a rien sans rien) !

 

- une alarme incendie déclenchée par le ponçage du mur (et c'est quand la sonnerie détruit nos tympans, qu'on admet qu'il aurait été intéressant de se découvrir, avant, une passion pour le manuel d'utilisation du système...),

- finissons avec les dommages collatéraux de la réfection de cette cloison : Jine, peintre en bâtiment...

- un Golden... vert au retour d'une défoule. Dans le nouveau manuel de stage, il est bien écrit qu'il faut laisser son chien renifler librement, sans intervenir : les odeurs jouant un rôle essentiel dans la communication. Pour le coup, il s'en est largement inspiré et.....imprégné,

- un Labrador noir qui s'est fait un masque contemporain avec des épis de blé vert (l'appareil-photo n'était pas disponible, et c'est vraiment dommage car ce niveau d'art ne peut se décrire), 

- le toit de l'abri de jardin, en fin de vie, maintenant remplacé,

- une batterie de véhicule déchargée, aussitôt rechargée.

- un autre véhicule chez le garagiste suite à l'agression de sa portière avant par un poteau hystérique du Centre Technique Bretagne Henri Guérin.

- comme l'an passé à la même époque, un campagnol sauvé des griffes de la féroce Elfie.

Et cet article publié - mais seulement publié - depuis le lieu du stage car Elisabeth est en panne de téléphone et d'internet.
Mais sinon, ça va !